J'ai lu
en anglais:
Agatha Christie: The secret of Chimneys (S)
Ce que Sonia Safian en avait dit: "What else can I say than I think she was a genius?"
Terry Pinto: Tanganyika Dreaming.
Lilian Jackson Braun: The cat who turned on & off. (S)
en français:
Jacqueline Harpman: Orlanda (S)
en anglais:
Agatha Christie: The secret of Chimneys (S)
Ce que Sonia Safian en avait dit: "What else can I say than I think she was a genius?"
Terry Pinto: Tanganyika Dreaming.
Lilian Jackson Braun: The cat who turned on & off. (S)
en français:
Jacqueline Harpman: Orlanda (S)
Ce que Sonia Safian en avait dit: " J''aurais mieux fait de le retrouver
plus tôt car j'ai vraiment beaucoup aimé: (5/5). Aline est
une prof de littérature anglaise qui a su depuis son adolescence
se conformer à l'image de jeune fille bien élevée que sa mère
a fabriquée pour elle. Mais un jour, sa part masculine,
brimée depuis si longtemps, décide de s'enfuir dans un autre
corps, un corps d'homme, pour pouvoir exister. Mais peut-on
facilement vivre avec une moitié d'âme? Aline et celui que la
narratrice appellera Orlanda ne sont-ils pas complémentaires?
Cette narratrice, elle, se place en rôle
de spectatrice ("qu'y puis-je, moi, si je suis témoin de l'impossible?), je dirais "active", elle ne fait pas que raconter, elle donne son avis, elle explique, elle se justifie, ainsi que ses personnages. Elle est tour à tour indiscrète ou pudique. J'ai vraiment apprécié cette écriture originale, pleine de références littéraires (le nom Orlanda étant un hommage à "Orlando" de Virginia Woolf) et cette histoire qui nous fait nous interroger sur nous-mêmes, sur ce qui crée notre identité (personnelle, pas nationale...)."
Franck & Vautrin: La dame de Berlin (S)
Philippe Claudel: Quelques-uns des cent regrets (S).
de spectatrice ("qu'y puis-je, moi, si je suis témoin de l'impossible?), je dirais "active", elle ne fait pas que raconter, elle donne son avis, elle explique, elle se justifie, ainsi que ses personnages. Elle est tour à tour indiscrète ou pudique. J'ai vraiment apprécié cette écriture originale, pleine de références littéraires (le nom Orlanda étant un hommage à "Orlando" de Virginia Woolf) et cette histoire qui nous fait nous interroger sur nous-mêmes, sur ce qui crée notre identité (personnelle, pas nationale...)."
Franck & Vautrin: La dame de Berlin (S)
Philippe Claudel: Quelques-uns des cent regrets (S).
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